Ce mensuel gratuit est déjà présent depuis 8 ans sur les autres communes du département voisin : Saint Jean d’Angély, Rochefort, Marennes-Oléron, La Rochelle, l’île de Ré, Surgères, Royan, Jonzac… Découvrez au fil des pages, la couleur locale et les rubriques “phares” de votre nouveau rendez-vous de lecture : Actualité, Maison&Jardin, Tendances&Bien-être, Goûts&Saveurs, l’Agenda…Très attachée au territoire économique, artisanal, culturel, associatif développé par les acteurs de proximité, l’équipe d’Icimagazine met à l’honneur la diversité de vos savoir-faire en localité. Remercions chaleureusement les professionnels et les commerçants qui ont investi leurs compétences pour vous offrir un contenu de qualité.
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Bien plus qu'un magazine
Depuis 10 ans, nous mettons notre savoir-faire au service de nos clients grâce à notre support Icimagazine. Aujourd'hui, nous faisons évoluer notre métier afin de vous proposer une communication plus globale. Groupe Icimédia est l'agence de communication où conseils et créativité se veulent toujours utiles et efficaces. Nous sommes à vos côtés afin de faire évoluer votre identité graphique et visuelle, et concevoir vos supports de communication selon les tendances actuelles et futures... De la création & impression de cartes de visite, flyers, affiches, en passant par la conception de sites Internet, jusqu'aux reportages photos et reportages vidéos, nous avons tous les outils et tous les acteurs pour mener à bien vos projets de communication.
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Ça y est ! Soleil et ciel bleu sont au rendez-vous ! C’est le moment de sortir, de bouger, de gambader ! Et, avec la chaleur, autant joindre l’agréable à l’agréable et rechercher la fraîcheur au bord de l’eau… Que ce soit sur les plages de l’Atlantique ou de la Gironde, sur les berges de la Charente, de la Seugne, de la Dive, ou bien encore en barque dans l’écrin de verdure de la Venise verte, les possibilités sont nombreuses dans notre région. Les activités proposées sont innombrables, depuis la planche à voile jusqu’aux toboggans aquatiques, en passant par le pédalo, la pêche à la ligne et la plongée sous-marine ! Plouf ! Le soir, ensuite, à la fraîche, vous pourrez opter pour une balade romantique devant un coucher de soleil ou bien vous trémousser sur toutes sortes de musiques… L’essentiel est de se régénérer le corps et l’esprit ! Et, comme vous pourrez le découvrir en lisant nos suggestions et nos informations sur les animations et festivités locales de l’été, vous avez vraiment l’embarras du choix !
Bonjour et bienvenue dans ce premier numéro de l'année 2014. Toute l'équipe d'Ici Magazine vous présente ses meilleurs vœux de santé, bonheur et réussite pour cette nouvelle année. Commerçants, artisans, autres professionnels, nous vous rappelons que ce magazine est le seul distribué gratuitement dans toutes les boîtes aux lettres. Outre le fait qu'il tient lieu pour vous du meilleur vecteur de communication auprès du plus large public, vous participez également par le biais de vos insertions au développement et à la pérennisation de ce magazine. Alors n'attendez plus, rejoignez-nous. Quant au contenu de ce numéro, nous vous présentons notre nouvelle rubrique "Emploi et Formation" avec ses o res d'emplois et nous répondrons à la question suivante “L'évaluation, en milieu de travail, qu'est-ce que c'est ?” Bonne lecture et n'oubliez pas : On parle de vous.
Vous tenez entre les mains le numéro de novembre d'Ici Magazine Pays Cognaçais. Dans un monde où tout va trop vite et où les distances sont raccourcies, nous pouvons passer un coup de fil au bout du monde, envoyer des sondes dans l'espace à des millions de kilomètres, prendre le train à plus de 300 km/h, avoir des nouvelles du monde entier en deux clics. Tous ces progrès nous font oublier le temps de vivre, de se parler et d'échanger, ici, chez nous. Nous avons tous envie de nous poser, regarder autour de nous, voir grandir nos enfants, parler à nos voisins, cultiver notre jardin, nous divertir entre amis… Nous avons tous envie de revenir aux sources. Ici Magazine est là pour vous distraire, vous conseiller, vous tenir informés de ce qui se passe autour de chez vous... Directement depuis vos boîtes aux lettres. Bonne lecture et n'oubliez pas : On parle de vous !
Ils sont revenus en France dans les années 1990 et provoquent chaque année la colère des éleveurs impuissants face aux attaques qui disséminent les troupeaux. Le loup, espèce protégée, fait aujourd’hui l’objet d’un plan gouvernemental qui fixe de faire abattre 24 carnassiers d’ici un an. Un enfant, interrogé sur le sujet sur les grandes ondes, suggérait l’idée de les dresser plutôt que de les tuer. Un ami des loups lui répondait que la chose était tout simplement impossible. On pourrait se laisser avoir par cette adorable boule de poils qui vient vous enjôler et flatter votre affection. Vous la laisserez jouer avec vos chiens à la ferme, la laisserez entrer dans votre quotidien sans vous douter qu’à l’âge adulte, “couic” les chiens, les moutons voire vous, si par infortune, vous tombez à terre… Malheureusement… c’est la nature ! Une réalité qui, sans surprise, soulève la parabole du genre humain. Mensonge, humiliation, trahison, persécution, torture, annihilation, extermination. Un massacre ordinaire ? “L’homme est un loup pour l’homme.”
Malheureusement… c’est dans notre nature…
- Bonjour, vous êtes bien Mme Sauverêtre ?
- À quelque chose près, oui !
- J’ai le plaisir de vous annoncer que vous avez été tirée au sort et que vous avez remporté un magnifique coussin. Vous êtes contente Mme Sauverêtre ?
Tous les jours, ces appels font intrusion dans notre quotidien générant de la part de ceux qui les reçoivent, des comportements qui relèvent le plus souvent de l’impolitesse, voire de l’incorrection. En version soft, cela donne : “Attention, je vais raccrocher… tuuuuuuuuuut... ” Néanmoins, certains font preuve d’une patience exemplaire voire agaçante, laissant une chance à l’appelant d’énoncer l’intégralité d’un message dénué de toute spontanéité. La sanction est la même : “Non merci, vous êtes gentil mais vous êtes mal renseigné, je ne suis pas propriétaire et je ne souhaite pas installer de panneaux photovoltaïques.” D’autres encore, que l’on pourra qualifier de pernicieux, font répondre leurs enfants en bas âge, ou pire, se font passer pour eux… Pas bien mais efficace ! Sauf que la petite voix de la conscience est là pour nous rappeler : “Allô, t’as oublié de dire à la personne au bout du fil que tu comprends bien qu’elle fait son job.” D’accord sur toute la ligne… Je lui dirai demain !
Partir pour la première fois à l’étranger, un sentiment d’excitation qui fait fi de toute angoisse de l’inconnu. Les valises sont bouclées avec trois fois plus qu’il n’en faut, on ne sait jamais ce que réserve l’aventure. Pour l’itinéraire, on improvise. L’esprit baroudeur, ça nous connait ! En fait, pas vraiment, c’est juste qu’on n’a rien préparé ! Premier jour, il pleut dans un pays réputé pour son ensoleillement permanent. Vue de la capuche, la ville présente néanmoins des attraits touristiques indéniables. Son remblai, son marché typique où l’on a garé la voiture qui ne se trouve plus à son emplacement. Sur le parking, un panneau “Grúa”. Traduction : fourrière ! Autant dire que le budget vacances est déjà bien entamé avec en prime, une soupe à la grimace bien corsée. Allez, on file plus au sud, la détente y est garantie… Les plages, les campings et les Français ! La discrétion… connait pas ! “Comment ça, il n’y a pas de ketchup avec les frites dans ce pays ?” Nous, on s’en fiche, nous sommes passés pour des Anglais tout le séjour ! Sûrement à cause du bronzage… inexistant ! Dernier jour, petite note à régler avant le grand retour… Tiens, la carte de crédit est bloquée… Et vous ne prenez pas les chèques… Les voyages forment la jeunesse… On l’a bien compris, merci !
L’inscription d’un enfant à l’école est toujours émouvante. Dans ce cadre, les parents sont conviés à une visite de présentation de l’établissement. État des lieux : petites tables, petites chaises, petits lits, petits wc… mignon tout ça. “Vous avez des questions ?” sourit le directeur. Oui, concernant la réforme des rythmes scolaires, qu’est-ce qu’il en est précisément ? Un changement d’expression se lit sur le visage de notre “hôte”. Réponse embarrassée : “Nous sommes encore dans l’attente.” Même si le modèle de réorganisation du temps scolaire s’oriente vers un raccourcissement de la journée de classe de 45 minutes tous les soirs, il reste un flou, une indétermination, clairement une zone d’ombre sur les fameux Temps d’Activités Périscolaires. Quels sont leurs contenus ? Qui sont les intervenants ? Leur planification implique-t-elle une logistique particulière ? Un problème à plusieurs inconnues qui en plus, devra se résoudre à rassurer les parents les plus circonspects. Il est évident que tout ceci n’est qu’une question de modalités qui une fois définies, pourront converger vers un vrai travail de fond et d’optimisation des apprentissages. La réaction de l’intéressé de 3 ans aux enjeux de la réforme : “Bon, on joue !”
Écran noir ce matin sur l’ordinateur. Pourquoi il ne s’allume pas ? Tu joues plus ? On débranche tout, on rebranche illico. Attente… Rien… Le mode énervement est activé. Hasard de l’actualité, les journaux évoquent un débat au Sénat sur l'obsolescence programmée des produits manufacturés. En clair, ça ne marche plus et c’est fait exprès ! Dans leur stratégie pernicieuse, les fabricants ont pensé l’impensable : accélérer l'usure des produits pour les rendre inutilisables. Ton téléphone portable présente les signes d’une fin annoncée ? Madame Consommation nous prend par la main : il faut en racheter un vite pour assurer les bons chiffres du taux de remplacement. On comprend aisément que Monsieur Développement Durable fasse les gros yeux. Mais la machine est bien rodée pour ne pas conserver... On rejette déjà 500kg de déchets en moyenne par an, alors pourquoi se formaliser ? Sauf que la télé, elle ne rentre pas dans la poubelle, il va falloir prendre la voiture pour aller à la déchetterie ! Trêve d’ironie, ci-gît aujourd’hui un PC qui n’avait pas toute la vie devant lui. Dernière tentative… Le petit bouton bleu se ranime accompagné d’un souffle caractéristique. Y aurait-il un programme de survie caché ? Une journée de plus, c’est déjà ça !
Téléréalité : genre télévisuel dont le principe est de suivre la vie quotidienne d'anonymes ou de célébrités. Pour quoi faire ? Des analyses poussées en la matière, parlent de culte du banal ou encore de droit démocratique de pouvoir passer à l’écran. “Regardez-moi, je me lave les dents. Tiens, si j’allais prendre un bain ! Vous avez vu comment je dors ?” Où est le contenu ? À moins que toutes ces heures de programmes ne soient les nouveaux corpus d’études socioculturelles et linguistiques ? “Allô, t’es une fille, t’as pas de shampoing, allô ?” Face à ce degré zéro de réflexion, comment expliquer l’identification du spectateur ? D’accord, on s’est tous fait avoir par la curiosité voyeuriste du concept du Big Brother is watching you. La seule évocation du prénom Loana est un classique du genre. Triste genre qui vient même jusqu’à exploiter ses tragiquement disparus après une popularité irraisonnable… Que sontils devenus ? Rien… Alors, qu’est-ce qui justifie la longévité de ce phénomène de fascination ? Votez, téléphonez, sms-ez ! Face à une consommation télévisuelle, les icônes ne peuvent être que jetables. Après Nabila, qui sera le/la prochain(e) ? “Maman, papa, c’est décidé, je veux passer à la TV… ” ?
“Moi, je ne suis pas difficile, je mange de tout !” Une phrase qui donne à réfléchir après le scandale du fameux hachis d’une marque bien connue de surgelés. J’avais déjà du mal à faire mes courses sereinement après tous les scandales qui avaient affolé vaches, porcs, moutons et consorts, mais là, c’est de l’ordre du blocage ! Pourtant, le grand principe de traçabilité alimentaire devait lever tous les doutes des crédules consommateurs que nous sommes… Sans mauvais jeu de mots, il y a eu boulette ! Ça, c’était en guise d’amuse-bouche puisque le cheval revient au galop en plat de résistance, avec des traces de médicaments antidouleur potentiellement toxiques pour l’homme, découvertes dans des carcasses en Angleterre, dont certaines ont été envoyées en France. Miam ! Vous prendrez bien un petit dessert ? La Commission Européenne a donné le feu vert pour la réintroduction des farines animales dans l’alimentation des poissons d’élevage… Sinon, qu’estce qu’on mange ce soir ? Farandole de n’importe quoi, ça vous va ?
Ça commence par un adorable petit bobard avec l’histoire du Père Noël qui va passer ce soir… Le conditionnement au mensonge n’attend pas le nombre des années. Et puis, plus on grandit, plus on a ce sentiment qu’on nous raconte des craques. Comment ça les hauts fourneaux de Florange n’auraient pas d’avenir ? Pourtant, on nous avait fait comprendre que… Ah, on nous aurait menti… Quoi, Lance Armstrong n’était pas clean et il ne s’en cache plus… Faute avouée à demi pardonnée ? Et puis quoi encore ! Au regard des concentrations présentes dans l'air, le gaz mercatan ressenti à Rouen jusqu’en Angleterre en janvier dernier, ne présentait pas de risque pour la santé, dixit la Direction générale de la Santé. Intoxe ? Et même les classiques de la littérature s’en mêlent. Et si Molière n'était pas l'auteur de ses pièces ? Quelle tartufferie ! Déformation de la vérité, pure invention, imposture, farce… on nous mène en bateau ! Pourtant, nous ne sommes pas les héros du Truman Show… Elle est où la caméra ?
Que peut-on vous souhaiter pour les fêtes de fin d'année ? Que tout se déroule comme le veut la tradition sous le signe d'une bonne humeur faussement naïve alors que la morosité ambiante accable les foyers ? Que le Père Noël fasse preuve de sa générosité légendaire alors que les portefeuilles n'en finissent pas de recoller les rustines ? Que les préparatifs des réjouissances honorent l'esprit de festin alors que les campagnes alimentaires sont sur le front d'une misérable bataille ? Le contexte est là, criant de réalité. Et pourtant... Chaque année, on se laisse entrainer dans ce flot de candeur. Croire ou faire croire, n'est-ce pas au fond ce qui nous rassure ? Alors oui, les illuminations réussissent à sortir le tableau de l’ombre. Oui, l’euphorie innocente des enfants donne de l’élan à toutes les motivations. Oui, ces moments solennels partagés en famille véhiculent encore des valeurs qui ont du sens, même si les plus obscurs d’entre nous parlent de culture de l’illusion. Et quand bien même… Il n’est pas interdit de rêver !
Conversations écourtées, rencontres bâclées, pauses abrégées… la course contre la montre est un défi pesant. Dans tous les domaines, il faut aller plus vite, ne pas s’écarter, foncer, quitte à manquer l’essentiel. Un état de fait dont nous sommes parfaitement conscients et qui donne la pleine mesure de notre impuissance… Et puis un jour, des rencontres comme une claque, des phrases comme un électrochoc pour nous stopper net dans ce régime effréné. “Donner du temps”, “prendre le temps” pour sortir de la spirale, juste un moment pour souffler et enfin apprécier. Finalement, n’est-ce pas vers ces minutes précieuses que nous courons tous ? Nos sociétés consuméristes aliènent les plaisirs simples au profit de l’immédiat. Mais ne pas suivre le mouvement, c’est enrayer le rythme et arriver hors délai ! Tant pis ? Plus que 5min pour se rendre au boulot, le magasin ferme dans 15min… l’horloge saura nous rappeler à l’ordre. D’ailleurs, le temps qui m’était imparti pour cette rubrique vient de s’écouler. Tic, tac, on enchaîne…
Quel est le regard que notre société porte sur les seniors ? C’est une interrogation qui fait suite au commentaire spontané d’un “quinqua” lors d’une requête pour l’interviewer sur son activité de loisir randonnée : “Vous photographiez aussi les vieux ?” Même si l’humour transparait dans la réplique, l’effet de surprise est réel… Je suis bouche bée ! Cette allusion à l’âge n’est pas sans soulever une problématique… Y aurait-il un sentiment intériorisé d’effacement dès lors que les ans se comptabilisent en demi-siècle ? Une impression ou une réalité de ne plus être vu ? S’il est vrai que dans les sociétés latines, les aînés se placent dans un schéma matriarcal ou patriarcal, qu’en est-il dans notre culture, où ils représentent près du tiers de la population ? Dans nos réactions, n’avons-nous pas le réflexe de systématiser le comportement d’une personne par rapport à son âge certain ? Les “vieux” au volant, au supermarché, à la plage, au marché… Comment expliquer cet abîme générationnel alors même que l’on éprouve des sentiments intensément tendres à l’égard de ses grands-parents ? Une chose est sûre, cet accès de jeunisme ne durera qu’un temps !
Avez-vous remarqué qu’en vacances, le temps nous échappe, incontrôlable comme si quelqu'un (s’il se reconnait, qu’il se dénonce !) appuyait sur la touche Accéléré. On avait prévu de faire plein de choses, finir la pièce du haut commencée depuis 2 ans (maintenant ce sera pour 2013 !), inviter les amis qui se disent “On n’a pas de nouvelles” (octobre, ça vous va ?) cuisiner (penser à racheter des pâtes !)… Résultat, le réveil sonne, c’est la rentrée ! Et là encore, re-touche Accéléré (Monsieur ou Madame, lâchez ce bouton !). Le train-train du quotidien nous a rattrapés, ce n’est pas faute d’avoir essayé de le semer. Mais où sont encore ces clés de voiture, ça y est, on est en retard ! Vite, mon kit de concentration et ma boîte à ranger les distractions en tout genre. Sauvée ! Le portable qui sonne… dans la voiture… Je rappellerai demain ! Quelle erreur d’avoir cru que la rentrée pouvait se concevoir en mode improvisé. Il faudra méditer tout cela… aux prochaines vacances !
Vous partez cet été ?” C’est la question qui alimente toutes les rencontres inopinées et toutes les soirées entre amis. Il y a les indécis, ceux qui pensent qu’on a tout le temps pour réfléchir, ceux qui restent dans le coin et puis il y a les “programmateurs”… Ceux qui ont prévu leur destination depuis au moins un an ! Islande, Mexique, Kenya, Inde, Thaïlande… La chance ! Visiter le bout du monde, s’évader à des milliers de kilomètres de son quotidien, traverser les continents… Seul gros hic, l’aéronef plus lourd que l'air, entraîné par un organe moteur dont la sustentation en vol est obtenue principalement par des réactions aérodynamiques sur des surfaces qui restent fixes dans des conditions données de vol, autrement dit l’avion ! “Quoi, tu n’as jamais pris l’avion ?” Oui je sais c’est bête ! Ce n’est pas faute d’avoir essayé d’approcher les airs, en planeur (malade !), en vol à moteur (pas fière !), mais le gros, là, dont on ne comprend pas trop comment il peut voler, pas question ! Une peur futile certes mais que nous sommes quelques-uns à partager. Cela n’a rien de glorieux mais de savoir que l’on fait partie de la même bande de pétochards, ça rassure !
Comme chaque année le 21 juin, on sera là pour tenter, malgré les poussettes et les corps-à-corps dus à l’affluence rituelle, de traverser la ville dans l’unique but de faire plaisir à nos oreilles. La fête de la musique déboule, branchez les guitares, ouvrez les micros et balancez les accords ! Car ce que l’on aime fondamentalement dans ce rendez-vous, ce sont ces bouts de talents qui s’enchaînent à tous les coins de rue. Avec parfois au détour d’un kiosque, des vraies claques artistiques mais aussi des couacs en vrac. Ça fait partie de l’ambiance qui se veut très indulgente. Il est vrai qu’on aimerait tous pouvoir descendre ce soir là pour jouer avec frénésie un morceau à la gratte. Le problème, c’est qu’il faut savoir jouer ! La guitare restera en déco dans la maison et puis c’est tout ! La diversité des genres, c’est aussi l’expression même de la fête de la musique. Croiser une cornemuse juste après un son techno, il n’y a rien de curieux dans tout ça ! C’est ce contraste qui est fort, très fort ! “Qu’est-ce tu dis ?”, “Je dis, c’était bien !” Les affinités musicales peuvent certes diverger mais l’énergie déployée est telle que l’on s’interdira tout commentaire. Peut-être un quand même, qui concerne les spectateurs qui prennent leur rôle très à coeur en oubliant qu’il y a des orteils qui ne sont pas les leurs, qui les réceptionnent à chacun de leur saut… Pas grave, on évitera les sandales cette année !
Alors que l'élection présidentielle a couronné l’avènement des réseaux sociaux en divulguant une “tendance” avant l’horaire légal de 20h le jour du scrutin, il est intéressant de porter un oeil complètement décalé sur l’imprégnation du 2.0 dans notre quotidien. Facebook et Twitter ont déjà quasiment enterré les blogs. Désormais, on partage tout, on ne se cache rien, c’est le principe de la grande communauté. Sauf que pour ceux qui ont fait le choix de ne pas en faire partie (il en faut bien une !), ça se complique ! “C’est quoi ta page Facebook ?” Ben, j’en n'ai pas ! “J’ai trouvé une super application, je te l’envoie sur ton smartphone !” Pas la peine, j’en ai pas non plus ! J’ai juste un portable pour téléphoner… Ha, ha, ha (rires, euh pardon, lol). Parfois, c’est sûr, on se sent un peu seule. Comme lorsque j’ai récemment demandé mon chemin, l’agréable jeune fille a dégainé son “téléphone intelligent”, et fait glisser plus vite que l’éclair, son index sur l’écran tactile. “C’est là !” J’aurais sûrement pu la remercier sur son FB, mais comme je ne suis pas connectée, je lui ai adressé un vrai “merci” avec un mot et du son ! C’est bien aussi…
Des collectifs qui nettoient les plages, des scolaires qui débarrassent les bois, des habitants qui se mobilisent dans les quartiers… Les opérations citoyennes ne manquent pas pour traquer celui qui sème le désordre dans le paysage, celui que l’on retrouve accroché aux arbres, rejeté sur le sable ou flottant dans une rivière… l’impérieux plastique. Impossible de ne pas le voir, il s’impose dans notre quotidien de façon insidieuse car incontournable, dans nos voitures, nos vêtements, notre consommation, notre mobilier… Le valeureux recyclage entre en action pour endiguer une prolifération endémique. Tout dans le bac jaune ! En fait non ! Et c’est parfois le dilemme dans les cuisines : mon pot de compote à la fraise, on le trie ou pas ? Pourtant les campagnes d’explication en la matière sont claires. Sûr qu’il serait plus cohérent si tous les industriels s’accordaient sur une même ligne de fabrication recyclable. Un jour sûrement… En tout cas, si le message de conscientisation passe de façon plus ou moins homogène entre les personnes, il est une génération qui absorbe littéralement toute la dimension environnementale du sujet : nos graines d’éco-citoyens ont tout compris ! Il ne tient qu’à nous de bien les faire pousser…
Une situation souvent mal vécue parfois même dissimulée par pudeur. Délicat aussi d’en parler entre amis ou en famille. Qui n’a jamais expérimenté ces périodes de doute et d’incompréhension devant des discours formatés : “pas assez qualifié”, “trop diplômé”, “trop âgé”… Les motivations s’épuisent appuyées par une réalité qui relaie des mots qui font peur : “licenciement”, “liquidation“, “précarité”… Et puis il y a la fameuse notion de mobilité qui remet tout en question. Un travail à 300km d’ici ? Est-ce que je suis prêt à tout quitter, ma famille, mes amis, mes repères ? Ai-je le choix ? Encore une fois, le doute s’installe. Pour éclairer ce sombre constat, on note l’émergence de forums, salons et autres journées consacrés à l’emploi. L’affluence enregistrée est symptomatique de ce besoin de trouver du sens à son existence sociale et professionnelle. De prises de contact en prise de confiance, des perspectives nouvelles peuvent s’entrouvrir. Se faire connaitre, savoir vanter ses compétences, c’est aussi un métier… Nathalie Sauvêtre
Lorsque l’on évoque les souvenirs de Noël avec les enfants d’hier, les grands d’aujourd’hui qu’il convient d’appeler les adultes, il se produit un phénomène étonnant. Un court silence et puis ce sont toutes les images qui arrivent parfois brutalement en plein cœur. Les visages se parent de sourires, d’émotions et l’on croit même apercevoir dans les regards, cette petite fille ou ce petit garçon d’autrefois qui attendait (plus ou mois sagement !) le passage du vénéré Père Noël. Faites l’expérience auprès de vos proches ou de vos collègues… les anecdotes fusent ! Comme celle croustillante de ces trois garnements qui épiaient l’arrivée du célèbre barbu et qui se sont mis à le poursuivre dans les rues de la ville avec quasiment un plan tactique pour le coincer… “Il est là ! Il vient de tourner, on va l’attraper” (véridique !). Imaginez la stupeur dudit Père Noël qui ne s’attendait sûrement pas à piquer un 100m en nocturne. Mais la curiosité de l’enfance a parfois ses limites. Car, à trop vouloir savoir ce qui se cache en haut des armoires, (“J’ai trouvé les cadeaux ! ”), la chute peut être rude. Et une jambe cassée, une (re-véridique) ! Percer les mythes n’est pas sans risque ! Quoiqu’il en soit, nous avons tous en tête, des moments, des couleurs, des senteurs, des cadeaux qui ont marqué un temps notre enfance, avant qu’elle ne s’évanouisse… Nathalie Sauvêtre
Le magazine que vous tenez entre les mains est le premier numéro d’Icimagazine en Charente et plus précisément en pays de Cognac. Ce mensuel gratuit est déjà présent depuis 8 ans sur les autres communes du département voisin : Saint Jean d’Angély, Rochefort, Marennes-Oléron, La Rochelle, l’île de Ré, Surgères, Royan, Jonzac… Découvrez au fil des pages, la couleur locale et les rubriques “phares” de votre nouveau rendez-vous de lecture : Actualité, Maison&Jardin, Tendances&Bien-être, Goûts&Saveurs, l’Agenda…Très attachée au territoire économique, artisanal, culturel, associatif développé par les acteurs de proximité, l’équipe d’Icimagazine met à l’honneur la diversité de vos savoir-faire en localité. Remercions chaleureusement les professionnels et les commerçants qui ont investi leurs compétences pour vous offrir un contenu de qualité. Nathalie Sauvêtre
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